Coaching en Softs Skills - MLM academy
Qui présume que les Soft Skills n’existaient pas autrefois !
Depuis la nuit des temps, les plus grandes civilisations humaines étaient conduites avec Agilité, Audace et Résilience ; par des Leaders, qui, sans leur Persévérance, leur Rigueur, leur capacité de Prise de décision et de Résolution des conflits ; n’auraient pas marqué des Ères de gloire.
Motiver les Carthaginois, inspirer la Confiance des Ottomans ou, Négocier avec les Romains, etc… n’était guère possible sans le sens accompli de Persuasion et de Responsabilité de leur dirigeant.
Avoir la force physique et la technicité de guerre n’était guère suffisant pour réussir sa bataille.
Il fallait innover, s’adapter et se différencier par rapport à ses rivaux, pour anticiper et réussir.
Tous ces faits montrent que, bel et bien, c’est depuis l’antiquité que les compétences comportementales définissent nos façons d’agir et de penser.
Comment alors expliquer la BOOM de la notion des « Soft Skills », à la fin du XXème siècle ?
Dès 1985, le concept de compétence est apparu comme celui qui créera une dynamique nouvelle, en rompant avec les définitions antérieures de la qualification.
C’est un renversement de valeur avec la notion d’autonomie qui apparaît : un emploi à forte autonomie est valorisé à l’inverse d’un emploi à forte prescription. Avec cette question de l’autonomie, c’est la reconnaissance de la place et du rôle de l’individu qui émerge.
Le modèle du métier était alors indirectement remis en cause puisqu’il reposait exclusivement sur le professionnalisme technique, se protégeant ainsi de l’environnement, moyennant des règles stabilisées.
A partir des années 90, c’est l’environnement qui entre dans l’entreprise, en mettant la demande du client à l’origine de la production.
Vers les années 2000, on note l’apparition d’une logique de compétences, où le salarié s’engage à élargir ses compétences, et l’entreprise à construire des carrières fondées sur les compétences acquises et non plus sur les postes disponibles. Parallèlement, le principe d’une évaluation des compétences individuelles en situation de travail devient reconnu par l’entreprise.
A cet effet, en passant de la logique de production où le travail est prescrit, à la logique qualité tournée vers le client, puis à la logique gestion des aléas où il faut être réactif, c’est le travail même qui a changé de signification.
D’où, l’enjeu pour les employeurs d’identifier les compétences comportementales de leurs salariés, de voir comment le travail est accompli, de les évaluer et les développer dans une recherche de performance accrue. Les compétences comportementales, appelées dans le jargon anglophone Soft Skills, deviennent alors un élément clé de la gestion, en donnant la possibilité de décrire, non pas un poste, mais comment faut-il être pour agir dans ce poste !
D’ailleurs, la plupart des soucis existant au sein d’une équipe aujourd’hui, proviennent bien plus de leur comportement que de leur savoir-faire. Mais ça, on ne le découvre que récemment.
Assimilées à des compétences humaines, les Soft Skills étaient souvent mises de côté dans les écoles, au profit de leur opposé, les « Hard Skills » ou compétences dites techniques.
Cela clarifie la raison pour laquelle, de nos jours, les personnes ayant de bonnes aptitudes comportementales sont si peu nombreuses par rapport aux travailleurs ayant de bonnes compétences techniques, autrefois, seules attributions nécessaires pour accéder à un emploi professionnel.
Ces dernières années, la tendance a changé.
Les compétences techniques représentent toujours un aspect fondamental, mais les compétences comportementales commencent à les égaler en importance.
La majeure partie des investissements continue à viser le financement de l’apprentissage des Hard Skills, alors que ces dernières ne compteraient qu’à hauteur de 20% dans la réussite professionnelle.
Les 80% restants dépendraient de notre manière d’interagir avec nos collaborateurs, compétences qui correspondent aux Soft Skills.
On peut continuer à considérer les formations Soft Skills, ainsi que le coaching, comme des accompagnements superflus à des formations Hard Skills, toutefois, les grands dirigeants, entrepreneurs de talents et, même certains politiciens, s’accordent pour dire qu’il est urgent de répondre à la demande grandissante des formations Soft Skills.
Si vous estimez que votre équipe aurait besoin d’approfondir certaines compétences comportementales, il n’y a qu’une seule alternative : faire du déploiement de formations Soft Skills la priorité n°1 de votre entreprise !
Avec les nouvelles méthodes d’apprentissage et technologies qui existent de nos jours, il n’a jamais été aussi facile de fournir des formations modulables de micro Learning, permettant à vos employés d’apprendre quand et où ils le souhaitent, à la fréquence de leur choix.
C’est dans ce sens que le Cabinet de Formation et de Consulting, MLM Academy, mette à disposition de ses partenaires, tous les moyens possibles pour un apprentissage, à la fois facile d’accès et efficace.
Nous faisons de nos formations Soft Skills ciblées, notre cheval de bataille. En blended, virtuel, numérique ou en présentiel, nous y travaillons parce que nous pensons qu’elles sont, non seulement, nécessaires pour l’épanouissement personnel et professionnel de l’employé, mais aussi, elles permettent d’harmoniser les relations avec autrui, de bien vivre le travail et, pour finir, d’être un productif « impliqué ».
Nos objectifs peuvent être répertoriés sous trois grands thèmes :
→ Des attributs personnels de carrière,
→ Des compétences sociales,
→ Des compétences relationnelles,
où on peut citer quelques missions :
1. une communication verbale rigoureuse pour avoir un réel impact sur les auditeurs,
2. un rédactionnel professionnel efficace,
3. résolution des problèmes et gestion des conflits, en étant orienté solution,
4. un pouvoir de persuasion et d’influence,
5. une bonne gestion du temps et du stress,
6. un esprit d’entreprenariat bien développé,
7. un réel potentiel de négociation,
8. l’empathie,
9. l’intelligence émotionnelle,
10. avoir confiance en soi, aux autres et en l’avenir.
Si chaque organisation ou chaque poste semble avoir des exigences qui lui sont propres en matière des Soft Skills ou, si chacune des compétences peut s’avérer plus essentielle que ses paires dans telle ou telle mission, la réalité montre qu’elles interagissent toutes, plus au moins, les unes avec les autres.
Les Soft Skills, seraient-elles un cycle de mode éphémère ou, répondraient-elles à une réalité futuriste ?
Une réalité s’impose. Le monde du travail est parti pour de perpétuelles évolutions, notamment, avec la robotisation, l’automatisation et l’intelligence artificielle, ce qui nous oblige à miser sur le capital humain.
Par conséquent, c’est un réel avantage de savoir s’adapter à ces futurs changements, à travers une capacité d’adaptation, largement facilitée si on progresse sur les Soft Skills.
La mondialisation et les nouvelles technologies sont en train de modifier profondément notre société. L’économie est davantage basée sur la connaissance, les contours de l’entreprise deviennent de plus en plus flous, il faut devenir plus agile et agir rapidement tout en ayant une vision à moyens et longs termes.
Personne ne peut réellement prédire ce que sera demain et, surtout, comment nos métiers vont évoluer.
D’ailleurs, la plupart d’entre nous exerce un métier qui n’existait pas il y a quelques dizaines d’années et, en 2030, 80% des métiers n’auraient pas existé aujourd’hui !
Il est devenu clair que nous devons nous former tout au long de notre vie pour accompagner ces changements. Les Soft Skills, étant des compétences qui ne se périment jamais et qui rendent les gens flexibles, s’avèrent être la meilleure option à saisir pour réussir ce défi.
Aujourd'hui, au 21ème siècle, les Soft Skills deviennent un facteur de différenciation majeur, une condition sine qua non de l'employabilité et de la réussite professionnelle, voire, de la réussite dans la vie.
Ayant aidé des dizaines d’organisation à aborder l’âge numérique, elles ont toutes les capacités pour être les futurs moteurs de transformation des organisations, en faisant comprendre aux individus que chacun a le choix de changer.
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